Le Arkaorià (N'est plus à quai)

Il s'agit d'un petit bateau, construit depuis peu, il n'y a que trois membres d'équipages, un marins, un cuisinier et le capitaine. Les marins du coin rit lorsqu'il entendent parler du bateau, car celui-ci, n'a pas assez de marins pour partir et le capitaine semble attendre qu'ils tombent du ciel...

Ce dernier reste toujours dans sa cabine, et on y voit de la lymière toute la nuite, a croire qu'il ne dormirait jamais.

Sortant un katana, Mardra chercha la cabine du capitaine et tua toutes les personnes qu'elle rencontra ou vit

Mardra arriva sur le pont, et croisa le seule marins du bateau, celui-ci fut surppris, mais pas assez, il cria, et tente d'éviter les coups de katana de la voleuse.

Mardra allait achever le marin, lorsqu'elle vit en fasse d'elle la figure de proue du bateau. Celle-ci était de dos, pourtant il lui semblait qu'elle l'odservait, c'était impossible mais cela la mettait mal alaise. Cette figure de proue était visiblement plus vielle que le reste du bateau, elle semblait provenir d'un autre bateau...

Mardra sortit une dague avec poison mortel et tenta de tuer le marin tout en s'enfuiant dans le bateau et jeta un fumigène pour se camoufler dans un recoin où elle pourrait achever tous les poursuivant qui existeraient.

Mardra n'eut pas de mal à en finir avec le marin, elle courrut après avoir lancé un fumigène dans le bateau, avec un mauvais présentiment...
Elle se trouva dans un couloir dont les murs en bois le séparé de nombreuse chambres, ( au moins . Au fon se trouvait sans doute la plus grande salle du navie, qui devait servir de refectoire et de cuisine, tandis que de l'autre coté se trouvait la seul chambre occupé, celle du capitaine, la porte était férmé.

Vérifiant qu'il n'y avait personne dérrière elle, Mardra eu soudain une idée, elle annonça ) travers la porte, en essayant de donner un timbre masculin à sa voix:
Monsieur, le repas est prêt, venez vous le prendre dans le réfectoire ou voulez vous que je vous l'amène dans votre cabine?

Dégainant un katana, Mardra attendit qu'il réponde ou qu'il ouvre la porte, ce qui serait surement son dernier geste d'ailleurs

Se fut visiblemnt une erreur notable, bien sur Mardra ne pouvait pas le savoir, mais le cuisinier de l'ancin DarkAorià était la dernière personne qui aurait proposé d'une voix serviable d'apporter au capitaine à manger...

La porte s'ouvrit, mais le capitaine était au centre de la pièce une arbalète entre les mains, une baguette àla ceinture. Il demanda d'une voix, calme, froide:
"Qui êtes vous? Que voulez vous? Et qui vous à envoyé?"

Pendant ce temps, des pas lourds se firent entendre, et la figure de proue représentant une sirène, déscendit des escalier, le bas de son corps de poisson ondulait comme celui d'un serpant, tandisque ses mains était tendu vers la jeune voleuse. Elle s'arrêta, sur un signe du capitaine.

Légèrement surprise, Mardra hésita entre deux choix, faire sa mission, ou fuir et revenir plus tard avec du renfort. Elle choisit la deuxième solution et fit toues les esquives possibles pour éviter le carreau du capitaine, une fois celui-ci lancé, elle lança une dague (poison mortel), puis un fumigène et fuia le plus vite posssible, en évitant (si possible) de passer à coté de la figure de proue (et si elle y est obligé, elle tente de la toucher au passage)

Mardra tenta de faire une roulade, cependant, le carreaux du captaine l'attengnit au ventre, la douleur l'empechant de viser son couteau se planta dans le bois, la voleuse tenta ensuite de fuire, mais le figure de proue bloquait le couloir, elle tenta de passer outre, mais deja le capitaine avait sortit sa baguette, et un éclair en jailli.

Mardra perdit connaissance sur le coup. Elle se reveilla ligotée sanguignolante et fourbu, dans la cabine du capitaine. Celui ci s'affairait près d'un table.

regardant la marge de maneouvre qu'elle avait (soit de combien environ elle pouvait bouger les mains) elle tenta de voir si la dague cacher sous son armure lui avait était enlevé. Elle demanda alors au capitaine:
C'est donc une figure de proue bien spécial que vous avez, mais vous savez que si je ne rentre pas bientot, mes amis viendront et couleront le bateau et tous ses occupants, le mettant en pièce si petite que le petit doigt d'un nain nouveau-né semblerai géant à coté de ça. Il s'arrangeront pour vous tuez de toutes manières.

(Tu est ligoté, de façon sérré, ton armure t'a était enlevée, mais ta dague est toujours la, cependant il t'est impossible de bouger donc de la prendre.)

Le capitaine, se retourna brusquement et dit avec un rire forcé:
"Si vos amis sont aussi doué que vous, je ne pense pas avoir trop de problèmes, mais voyez vous tous les voleurs que l'on attrape, sont tous frère du roi, ou fils d'un prince, ou ami d'un haut dignitaire, alors vous savez, je dirais poliment, que je n'en est rien à faire."

Le capitaine prit un tabouret et s'assit devant Mardra, et lui dit:
"Bon, voyez-vous, je me trouve devant un terrible dilemne, soit je vous offre à la garde, et vous serez soit mise à morts soit mise en prison, dans les deux cas vous passerez avant par un autre endroit, qui ne vous plaira pas.

Soit, vous me dites qui vous emploie, et pourquoi, et je vous relacherai peu être sur une île non loing, pour qu'il ne vous prènent pas l'envie de venir me rendre un autre visite.

Alors que me conseillez vous?"

Mardra lui répondit en regardant si sa dague était toujours planté dans le bois et la où était la sirène:
Je n'ai jamais dit que j'était ami d'un dignitaire haut placé, mias par contre, mes amis seront plusieurs, et encore mieux armé. De plus, il seront envore plus méfiant et énervé. Quant à celui qui m'emploi, j'ignore son nom, ce n'est pas moi qui m'occupe des relations avec les clients, si vous voulez, je vous laisse tranquille, ma guilde aussi, vous me laissez partir et je m'arrange pour trouver le nom de celui qui veut vous tuez, et, si vous le voulez, le tuer a votre place. Tout cela contre ma liberté.

La dague avait était décrochée, elle était maintenant sur la table comme le reste sont équipement.

"Au lieu de faire des menaces, vous feriez bien de remarqué que vous n'êtes pas en posture de marchander. Choisissez une des deux solutions sans la modifier. Je crois que vous allez me dire le nom de vos amis, et ou je peu les trouver, et je vais vous laisser leur écrire."

Le capitaine détacha les bras de mardra, mais pas le reste et lui donna une plume et un parchemin. Il s'assit sur son siège, mais avec sa baguette de foudre. Il lui dit:
"Ecrivez, et arrangez vous pour que toutes mes conditions soient remplies. A la moindre tentative de quoique se soit, je t'achève."

D'accord

Mardra commença à écrire:
Agdemor, il faudrai que tu dises à celui qui te remet cette lettre, ou l'écrire, qui t'a demandé de tuez le capitaine de l'Arkaorià.
Ma vie en dépend, alors ne ment pas et ne le tue pas, sinon je pense que je le sentirais passer.
En espérant te revoir d'ici peu
Mardra

Elle tendit la lettre au capitaine sans faire de geste brusque, pour éviter toutes confusions.

(PS j'ai demandé où était la sirène)

Le capitaine remercia mardra, et sortit de la cabine après avoir réattacher la voleuse. Mardra se retrouva seul et sans figure de proue en vue, ses membres lui faisaient mal. Elle se rendit compte, qu'il faisait jours. Visiblement le capitaine ne rentrerait pas avant une bonne heure.

Cepandant elle ne saignait pas et n'avait pas de bléssure, le capitaine l'avait soignée.

Plutôt que de s'ennuyer, elle réfléchit aussi aux solutions qu'elle avait (soit la même chose mais en pire)
Il y avait plusieurs choix:
- Le nain était d'accord, il lui donnait le nom et le capitaine laissait Mardra partir.
- Le nain était d'accord, mais le capitaine ne tennait pas sa parole et la tuer
- Idem, mais il la livrait à la garde
- Le nain était contre, il tuait le capitaine et venait la libérer
- Le nain était contre, il laissait le capitaine partir et celui-ci tuait Mardra
- Idem, mais il la remettait à la garde

Espérant que la première solution (ou la quatrième) se passerait, Mardra attendit que quelqu'un rentre.

Une heure après le départ du capitaine, le bateau se mit en route, sans que Mardra comprène.

Sur le pont le capitaine était revenu avec trois marins qu'il avait emboché sur les docks.

Mardra attendit que le capitaine la relache sans faire d'histoire

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